Ils sont beaucoup, aujourd’hui, à vouloir exprimer publiquement leur colère et leur douleur face à aussi peu de réaction de la part du gouvernement. Beaucoup veulent faire passer un message de détresse concernant leur métier, leurs établissements qui restent fermés, mais surtout, beaucoup s’inquiètent vis-à-vis de l’impact sur la culture engendré par l’épidémie et veulent dénoncer le manque de réactivité du gouvernement, alors que la culture nous touche tous.
Ces oubliés de la nuit commencent à s’organiser et à réfléchir à la manière de se faire entendre sans attendre la prochaine date étape du 22 juin où de nouvelles annonces sont attendues.